Les étudiants de l'atelier Percustra ont interprété une des pièces au programme du concert des Percussions de Strasbourg qui a eu lieu mardi 2 avril à la Cité de la musique et de la danse.
L’Orchestre de chambre et le Chœur des étudiants en musique de l’Université de Strasbourg interprèteront La Création de Joseph Haydn (1732-1809) mardi 9 avril 2013.
Régulièrement, l’Orchestre de chambre et le Chœur des étudiants de la licence Musique de l’Université de Strasbourg se retrouvent en concert et font participer l’université à la vie musicale strasbourgeoise.
Ils interpréteront, sous la direction d'Amanda Hascher, La Création de Joseph Haydn avec trois solistes professionnels - Clarissa Worsdale, Laurent Roos, Laurent Koehler. Côtoyer des solistes professionnels représente un atout supplémentaire dans le parcours des étudiants.
Ce concert, au profit de l’association Pogbi pour la scolarisation des filles au Burkina Faso, est aussi l’occasion pour eux d’une expérience solidaire.
L'exposition « Le Christ dans la photographie contemporaine (1990-2013) » s’inscrit dans le cadre du colloque du même nom, initié par la Faculté de théologie protestante et la Faculté des arts, et se déroulera les 11 et 12 avril 2013 à l’Aumônerie universitaire protestante.
L'exposition présente un petit aperçu des pratiques contemporaines concernant la photographie prenant l’image du Christ comme sujet. Car ces figures, si présentes dans l’histoire de l’art occidentale, ont trouvé à « s’incarner » d’une manière originale à travers le médium photographique, connu pour son objectivité et sa faculté à capter le réel. Le Christ reste un sujet toujours d’actualité, représenté et questionné de multiples façons dans les arts. Ces représentations font d’ailleurs souvent l’objet de polémiques, pouvant mener à des réactions extrêmes. Il semblerait que l’image du Christ ne soit pas « envisageable » au 21e siècle. Une table-ronde réunissant des universitaires et les photographes participant à l’exposition permettra de discuter de la vivacité de ce thème dans la photographie d’aujourd’hui.
Cette exposition est organisée dans le cadre du colloque « Le Christ dans la photographie contemporaine (1990-2013) » initié par la Faculté de théologie protestante et la Faculté des arts de l’Université de Strasbourg en partenariat avec l’École doctorale Théologie sciences religieuses, protestantisme et image et le Service universitaire de l’action culturelle.
Entrée libre
La quatrième édition de « Seuil : passeurs de rêves », une résidence d'artistes qui relie la France, l’Espagne et le Chili, se déroulera du 15 au 20 avril sur le campus Esplanade.
Pendant une semaine de résidence, de création et de recherche, les chercheurs, artistes (chorégraphes, scénographes, danseurs, plasticiens) et techniciens strasbourgeois, chiliens et espagnols, accompagnés par le groupe de musique Sombonoria et les artistes invités de Konic Thtr, vont collaborer ensemble par la téléconférence pour aboutir à une création finale qui sera un spectacle multimédia en temps réel lundi 22 avril à 21 h et une installation à l'Atrium sur le campus Esplanade. Tous ces acteurs se feront alors passeurs de rêves entre le ciel et la terre, entre Strasbourg et l'observatoire Cerro Tololo au Chili. Une conférence intitulée « Le cas Seuil : des images polyglottes à travers la téléprésence (Chili/France)» sera aussi organisé le 22 avril à 14 h à la Misha en présence de l’équipe de chercheurs, techniciens, Konic Thtr et Sombonoria.
Ce projet est mené par Seuil-Lab, groupe d’artistes multidisciplinaire, uni par la recherche dans le domaine des nouvelles technologies, dirigé par Vivian Fritz, chorégraphe et doctorante en danse à la Faculté des arts de l’Université de Strasbourg. Leur ambition est de renouveler l’espace scénique grâce à l'usage des nouveaux médias, en créant une dynamique scénique d'immersion et de participation du spectateur.
Ce projet est soutenu par l’équipe d’accueil 3402 Approches contemporaines de la création et de la réflexion artistiques (Accra), la Faculté des arts de l’Université de Strasbourg, la Direction des usages du numérique, le Noao (National optical astronomy observatory) et l’Université catholique du Chili.
La salle de l'Aubette accueillera un troisième débat mercredi 10 avril à 19 h, autour du thème "Villes et territoires créatifs".
D'après Marc Dondey, directeur de projet Entreprises créatives à la Direction du développement économique et de l’attractivité de la Communauté urbaine de Strasbourg qui participera au débat, « on ne décrète pas la "ville créative", c'est un processus, une histoire, une projection vers l'avenir des talents et des compétences de ses habitants ».
Mais qu’est-ce qu’une ville créative, un territoire créatif ? Comment entre-t-on dans ce processus ? Quels sont les enjeux de cette démarche ? Pourquoi certaines villes s'y opposent ? Comment détecter, favoriser et exploiter les comportements créatifs pour faire émerger l'innovation ?
Autant de questions auxquelles les intervenants tenteront de répondre et en particulier Jean-Alain Héraud, professeur de sciences économiques à l’Université de Strasbourg (Unistra), à la lumière de ses travaux de recherche dans le champ de l’économie de la créativité à l’Unistra. Le débat mettra également en lumière la façon dont ces travaux de recherche peuvent orienter la politique de développement économique de la Communauté urbaine de Strasbourg.
Le débat sera animé par Nicole Gauthier, directrice du Centre universitaire d’enseignement du journalisme de l’Université de Strasbourg.
Les Rencontres européennes de littérature de Strasbourg (Rels) se sont terminées samedi 23 mars avec la remise solennelle du Prix de littérature francophone Jean-Arp à Silvia Baron Supervielle au Collège doctoral européen.
Lors de la cérémonie de remise du prix Jean-Arp, l’écrivaine franco-argentine s’est dit « heureuse de recevoir ce prix parce que, à cause de lui, j'en ai pris conscience : je suis Européenne ». Elle a aussi confié admirer Jean-Arp et sa femme, pionnière de l’art concret. « Je me sens proche de leurs œuvres, les sculptures de Arp, dont les corps inachevés enlacent l'espace, répondent aux poèmes qu'il écrivait en français, en allemand et, au début de sa vie, en alsacien. »
Pascal Maillard a, lui, souhaité faire remarquer que Silvia Baron Supervielle est la troisième femme à être distinguée par ce prix après Anise Koltz et Denise Desautels. « Ces trois écrivaines de premier plan dessinent ce que j’imagine être la géographie poétique de nos Rencontres européennes de littérature. » Il a ajouté : « Il arrive parfois que de grandes œuvres littéraires construisent des ponts entre les langues et les cultures. Celle de Silvia Baron Supervielle en fait si exemplairement partie qu’on pourrait dire qu’elle est devenue toute entière le pont lui-même (…) qui relie symboliquement l’Amérique du Sud à l’Europe, Borges à Silvia Baron Supervielle, mais aussi cette passerelle entre les langues espagnole et française que l’écrivaine a parcouru dans les deux sens à travers son œuvre de traductrice, si intimement liée à son œuvre de poète. »
Le sixième numéro de Lab’20, le magazine scientifique coproduit par la Communauté urbaine de Strasbourg et la chaîne 100% régionale Alsace20, et cosigné par l'Université de Strasbourg, est en ligne sur le site d'Alsace20.
Dans ce nouveau numéro de Lab'20, dédié à l’environnement et au développement durable, vous découvrirez différents laboratoires et acteurs de la région travaillant dans ce domaine. Plusieurs sujets sont abordés comme la fabrication de sacs recyclés à partir de bâches publicitaires, l’engagement de certaines entreprises dans le commerce équitable, l'utilisation de procédés lasers (de plus en plus économes pour la fabrication de pièces métalliques), le traitement de déchets radioactifs ou bien la dépollution de l’eau grâce à des micro-organismes. Dans Lab’20, on vous dévoile tout !
L'ouvrage Droit de la propriété intellectuelle1 de Laure Marino, professeur à l’Université de Strasbourg et au Ceipi2, vient de paraître aux éditions Presses universitaires de France.
Les diverses branches du droit de la propriété intellectuelle sont traditionnellement étudiées séparément : droit d’auteur, brevets, marques, etc. Les importantes différences d’une branche à l’autre le justifient pleinement et c’est pourquoi la seconde partie de cet ouvrage présente, les unes après les autres, toutes les propriétés intellectuelles. Pour autant, il existe suffisamment de traits communs aux diverses propriétés intellectuelles pour nous inciter à les examiner ensemble. C’est l’objet de la première partie dont l’approche transversale conduit à dégager les grandes lignes : elle révèle un tronc commun qui traduit l’unité de la matière et permet de mieux en comprendre l’esprit.
Sur le fond, le manuel expose le droit interne, le droit de l’Union européenne et le droit international de la propriété intellectuelle, et rend compte des évolutions les plus récentes. Sur la forme, il est clair, concis et agréable à lire, afin que le lecteur puisse aisément découvrir et mieux apprendre cette matière passionnante, en la comprenant bien.
Laure Marino, agrégée des facultés de droit, est professeure à l’Université de Strasbourg et au Ceipi, où elle enseigne le droit de la propriété intellectuelle. Elle est directrice du master 2 Droit de l’économie numérique de Strasbourg, titulaire de la chronique Droit de la propriété intellectuelle à La Gazette du Palais et auteure de nombreux articles.
• Résultat de fonctionnement
excédentaire de 2,17 M€
• Capacité d'auto-financement
de 10,3 M€
• Fonds de roulement : 34,8 M€ soit 1,3 M€ de moins qu'en 2011